Pulso de mercado

Siguiendo con la publicación del PIB del primer trimestre, tenemos que en Alemania ha aumentado un 1,5%, gracias a la inversión y al consumo privado y en menor medida al sector exterior.

En Francia el PIB del primer trimestre ha aumentado un 1%, por un aumento de la producción y de la demanda interior. Sin embargo, el sector exterior tuvo un impacto negativo (ese euro!!!).

http://www.expansion.com/2011/05/13/economia/1305267735.html

Buenos días.

Buenos días, datos macro para hoy
14:30 EEUU, IPC del mes de abril
15:55 EEUU, Índice confianza consumidor de la Universidad de Michigan
Apertura en verde en toda Europa, futuros americanos siguen en verde, el Ibex sigue al alza no obstante lastrado por TEF que poco a poco pasa del rojo al verde.
Objetivo al alza para el intradía; los 10.581 aprox.
Saludos y buen trading

Cambrils, ¿qué pasa? ¿Que los datos de hoy son muy importantes? Jajjajaja.

Te ha salido el post duplicado!!!

Saludos.

La publicación de esos datos por poco que vaya en sentido contrario al mercado nos dara juego en intra, en cuanto al objetivo intra aunque modesto es la proyección de un hchi que corre por ahí en grf de 15', no obstante cabe esperar una extensión hasta los 10.610 (hueco que dejó el 6 de mayo), si lo supera, pues a los 10.9XX.
Si ha salido por partida doble ¿?, un saludo.

¿Qué hay detrás del triángulo?¿No acabaremos en encefalograma plano?

Cambrils, hombre, que era una pregunta de cachondeo. Decía si eran datos importantes porque tu post había salido dos veces, no por nada más. ;)

Saludos.

Buenos dias a todos,

Ayer vendieron bonos, así que puede haber un empujón alcista de un par de sesiones...

Quien opere con Dax el futuro 7550-7570....atentos.

En Francia lo toman como excelente al leer el titular.
Buenos dias.

Une brusque accélération de la croissance crée la surprise en France :

Le Premier ministre François Fillon sur le plateau de TF1 le 12 mai 2011
© AFP Bertrand Langlois
Une brusque accélération de la croissance économique au premier trimestre 2011 en France, portée par l'investissement, la consommation et la reconstitution des stocks des entreprises, a créé la surprise mais elle ne pourrait être que temporaire, tempèrent les économistes.
La croissance du produit intérieur brut (PIB) sur les trois premiers mois de 2011 a "accéléré vivement" pour atteindre un niveau inégalé depuis le deuxième trimestre 2006, a confirmé vendredi l'Insee peu après 07H00, renonçant, fait exceptionnel, à demander aux rédactions de retenir l'information jusqu'à 07H30.
Dès jeudi soir il est vrai, le Premier ministre François Fillon n'avait pas résisté non plus à la tentation d'annoncer la bonne nouvelle sur le plateau de TF1, annonçant une croissance du PIB "supérieure à 0,8%" au premier trimestre.
La ministre de l'Economie Christine Lagarde avait enchaîné, dévoilant le chiffre de 1% dans une interview à l'AFP. "Tous les clignotants sont au vert", c'est une "très bonne nouvelle pour l'économie française", a-t-elle déclaré depuis Londres, annonçant même "des créations d'emplois supérieures à 50.000 pour le seul premier trimestre".

Evolution annuelle du PIB français de 2007 à 2010 et trimestrielle du 3e trimestre 2008 au 1er trimestre 2011, selon l'Insee
© AFP
Vendredi matin, l'Insee a effectivement annoncé 58.800 emplois nets créés au premier trimestre dans le secteur marchand, une progression de 0,4% . L'Insee a confirmé aussi que la plupart des composantes de la croissance --mis à part le commerce extérieur-- étaient orientées à la hausse au premier trimestre.
La consommation des ménages, selon l'institut, est apparue ainsi "un peu plus forte" qu?au quatrième trimestre 2010 (+0,6% après +0,4%). L'investissement s'est apprécié "nettement" (+1,1% après +0,5%). Et les variations de stocks des entreprises ont contribué positivement pour 0,7 point à la croissance (après -0,3 point), un point clef selon les économistes.
La reconstitution des stocks a même "plus que compensé" le point noir récurrent de l'économie française, à savoir le déficit du commerce extérieur qui a de nouveau plombé la croissance du PIB au premier trimestre (-0,4 point après +0,3 point).
Autre fait marquant, toujours selon l'Insee, la production manufacturière s?est accrue aussi "très fortement", se révélant "la plus forte de ces trente dernières années" (+3,4% au premier trimestre après +0,7 % qu quatrième trimestre de 2010), tandis que la production de biens et services a accélèré (+1,6%, après +0,3%).
Le gouvernement estime ainsi que l'économie française est dès à présent sur les rails pour tenir, voire surpasser l'hypothèse d'une croissance annuelle de 2%, sur laquelle repose son budget.
Christine Lagarde s'est dite "très confiante" et l'Insee a précisé vendredi matin que même dans l'hypothèse où les trois prochains trimestres de 2011 connaîtraient une croissance nulle, la croissance annuelle s'élèverait mécaniquement à 1,6% avec l'embellie du premier trimestre.
Qui dit mieux ? L'Allemagne, éternel premier de la classe européenne, qui vient d'annoncer une croissance de son PIB de 1,5% au premier trimestre.
Gare à l'excès d'optimisme, préviennent cependant les analystes. "Un freinage est à prévoir dès le deuxième trimestre", assure Alexander Law (Xerfi), listant les périls qui menace l'économie française : l'inflation qui grignote le pouvoir d'achat, la flambée des cours du pétrole et des matières premières, le yo-yo de l'euro...
Conclusion, selon Xerfi, la croissance sur l'année 2011 ne dépassera pas 1,7%.
Marc Touati (Global Equities) estime lui aussi que "l'économie française a mangé son pain blanc". Il souligne la baisse de la production industrielle et des dépenses de biens manufacturés en mars et s'attend à un deuxième et surtout un troisième trimestres "bien plus difficiles". Mais l'économiste n'en relève pas moins sa prévision de croissance pour 2011 à 2 - 2,5%.